L’étude de Guy Hoquet sur les français et l’immobilier

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GUY HOQUET L'IMMOBILIER Réseau d'Agences Immobilières et de Cabinets d'Affaires

Tout le monde dit « c’est risqué de devenir entrepreneur. Vous n’êtes pas tout le monde. Chez Guy Hoquet, on en fait toujours plus pour [...]

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Le groupe Guy Hoquet s’intéresse aux projets immobiliers des français. A travers une étude menée en mars dernier par l’institut CSA, le réseau a voulu connaitre les aspirations des français en matière d’immobilier.

Premier enseignement de cette étude : « Le dynamisme économique joue sur l’évolution des marchés immobiliers locaux : entre les grandes agglomérations avec un fort bassin d’emplois et les communes de moins de 20.000 habitants, désertées par les services et les transports, le fossé se creuse d’année en année sur les prix et sur l’offre immobilière », constate Frédéric Monssu, directeur général du réseau.

Le point positif est que, malgré le contexte économique difficile, 48% des 1220 sondés expriment leur envie de changer de logement. Une volonté toutefois inégale selon le lieu d’habitation, ainsi si 60% des franciliens souhaitent changer de logement, en milieu rural et dans les agglomérations de moins de 100.000 habitants ce souhait n’est exprimé que par 41% des personnes interrogées. Même constat pour l’âge, alors que 85% des 18-24 ans ont une envie de projet immobilier, ils ne sont plus que 26% chez les 65 ans et plus.

Si près d’un sondé sur deux envisage de changer de logement, ils souhaitent majoritairement le faire dans le cadre d’une mobilité géographique réduite. 64% d’entre eux souhaitent rester dans le même quartier, la même ville ou le même département. Les personnes se montrant les plus enthousiastes par une mobilité géographique sont les urbains et à leur tête les Parisiens qui sont 25% à se dire prêts à changer de région motivés, pour 49% d’entre eux, par une amélioration du cadre de vie.

Si 59% des personnes interrogées jugent le marché immobilier attractif en termes de qualité des biens, 61% des habitants de communes rurales et près de 80% des Parisiens jugent les prix trop élevés. Et plus d’un Parisien sur deux craint une prochaine hausse des prix. Un taux qui descend à 38% dans les communes rurales.

Cette étude aborde encore de nombreux thèmes comme la mobilité géographique et les villes et régions les plus attractives. Une synthèse est consultable sur le site de l’enseigne dans la rubrique Dossiers.

Benjamin Thomas, Franchise Habitat©

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